L’épargne salariale, un enjeu d'attractivité pour les entreprises
L’Accord national interprofessionnel (ANI) relatif au partage de la valeur au sein de l’entreprise signé le 10 février dernier par les organisations patronales et syndicales, devrait dynamiser l’épargne salariale. De quoi inciter les PME à revisiter les dispositifs qui permettent d’associer leurs salariés aux résultats et de développer leurs investissements.
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Principe fondateur de l'épargne salariale : elle n’a pas vocation à se substituer au salaire. Elle est un moyen de renforcer les engagements réciproques du salarié et de l’entreprise, en ajoutant au salaire une participation aux résultats et à l’accroissement de la valeur de l’entreprise.
Le principe consiste à verser à chaque salarié une prime liée à la performance de l'entreprise (intéressement) ou représentant une quote-part de ses bénéfices (participation). Les sommes attribuées peuvent, au choix du salarié, lui être versées directement ou être déposées sur un plan d'épargne salariale.
L'épargne salariale repose sur plusieurs mécanismes que nous vous proposons de découvrir ici : l’intéressement, la participation, les plans d’épargne entreprise (PEE) et les plans d'épargne retraite (PER).